Aujourd’hui j’ai envie d’envoyer tout valser dans les Pâquerettes, il n’y aura donc pas
de rimes dans mon texte, car on ne peut pas rimer FN et harmonie d’un pays.
Nous voici au lendemain de la prestation de serment de notre premier ministre
Charles Michel. Je n’ai rien contre l’homme, mais je regrette sa naïveté
d’avoir ouvert les portes aux extrêmes, à savoir le parti radical de la NVA
mené sournoisement par Bart de Wever. Voici notre petit pays dans la
tourmente, avec deux ministres ne cachant pas leurs accointances vers
une politique extrême, allant jusqu’à s’afficher en public à l’anniversaire
de Bob Maes ancien leadeur du parti VMO
Voici son historique :
Pendant sa jeunesse, Bob Maes est membre de la Jeunesse national-socialiste
de Flandre puis rejoint, pendant la Deuxième Guerre mondiale, la Ligue
nationale flamande (VNV), organisation qui collabore avec les nazis.
En septembre 1944, il se rend à la police, passe un an en détention
et perd ses droits politiques pour une période de 20 ans.
Au début des années 1950, Maes fonde le Vlaamse Militanten Organisatie (VMO),
milice privée d’extrême droite, et rejoint la Concentration flamande.
En 1954, il est membre du comité de direction de la Volksunie.
De 1965 à 1995, il est le président de la section brabançonne de ce parti.
En 1971, il dissout formellement le VMO, est élu sénateur dans l’arrondissement
électoral de Bruxelles-Hal-Vilvorde et reste sénateur jusqu’en 1985.
Bien que n’étant plus directement impliqué dans le nouveau Vlaamse Militanten Orde,
issu des cendres du mouvement qu’il avait créé, il maintient des contacts
sporadiques avec eux. Ainsi, en 1978, il prend la parole au cimetière d’Asse
à l’occasion du transfert du cadavre du collaborateur flamand Staf de Clercq
Après la dissolution de la Volksunie, il intègre la N-VA dont sa fille Lieve Maes
est représentante au Sénat et au Parlement flamand.
La présence du ministre flamand Ben Weyts et du secrétaire d’État à l’Asile
et la Migration Theo Francken au 90e anniversaire de Bob Maes, révélée
par le Parti du travail de Belgique, provoque un chahut lors de la séance
de la Chambre du 14 octobre 2014 où le nouveau Premier Ministre Charles
Michel doit présenter la déclaration gouvernementale de son gouvernement
et la demande, par divers partis de l’opposition de la démission du
secrétaire d’État Francken.
Hier notre cher premier ministre n’a pas fait dans les Pâquerettes
en disant qu’il s’était entretenu avec ses deux ministres qui lui
on fait serment de ne pas cautionner les exactions de ce tristement
célèbre Bob Maes. De ce fait malgré le tollé hier à la Chambre
Charles Michel ne demandera pas leur démission et précisera
que ses deux ministres faisaient déjà partie du gouvernement PS
au temps d’Elio Di Rupo et que cela ne semblait pas vraiment
les déranger. Oui mais de mon avis personnel, je pense que ces deux sinistres
ne se sont pas fait remarquer et qu’aujourd’hui qu’ils sont dans un gouvernement
de droite avec un poste de ministre de surccroit ils osent enfin afficher
leurs vraies convictions. Toujours de mon avis personnel si Charles Michel
avoue devant les caméras n’avoir jamais entendu parler de Bob Maes
qui a tout de même défrayé la chronique politique des années 50,
on peut comprendre que le gouvernement PS n’ait jamais entendu parler
des accointances au groupes néo-nazis decertains membres de leur gouvernement .
Charles Michel se doit de connaître le passé politique du pays qu’il gouverne!!!
Ce matin certains politiques disent qu’il serait temps de passer à l’essentiel
au lieu de se disperser sur des affaires aussi futiles. Quelle honte!!!
Cela me rappelle une phrase de Jean-Marie Le Pen qui lui a coûté
une condamnation .
« En France du moins, l’Occupation allemande n’a pas été particulièrement
inhumaine, même s’il y eut des bavures, inévitables dans un pays de
550.000 kilomètres carrés » (sic)
Aussi par cet article j’ai envie de dire à mes compatriotes Français,
car c’est aussi ma nationalité, de bien penser leurs mots avant de basculer
dans le même fiasco, car ils sont malins à droite, même très à droite,
pour nous faire avaler des couleuvres.
Pour preuve hier je regardais les infos sur LCI et je suis tombée sur ce petit reportage
[youtube]http://youtu.be/akozF_1n-Sw[/youtube]
Serge Moati dresse le portrait de sa relation devenue intime avec Jean-Marie Le Pen
quitte à être critiqué pour une trop grande proximité ou bienveillance avec le vieil
homme politique. Encore un peu il nous ferait l’aimer ce vieil homme et sa fille avec!!!
Beau stratagème pour nous tromper!!! Moi je reste sur mes positions c’est non aux
Le Pen et Lepénistes toute génération confondue et surtout Non au F(haine)
et le livre de ce Monsieur Moati ira rejoindre celui de madame Trierwaler
Et celui d’Eric Zemmour au rayon papier des supermarchés
Voilà M’dame Jill-Bill pardonnez-moi ce coup de gueule
Mais avouez qu’il y a de quoi s’inquiéter de notre avenir!!!