Le tango est une pensée triste qui se danse …

Pour ce défi 202 mené par Luciole chez les Croqueurs de Môts

« Le tango est une pensée triste qui se danse! (Enrique Santos Discépolo)

La peur est l’énergie qui contracte, referme

attire, court, cache

et blesse.

L’amour est l’énergie qui s’étend, s’ouvre, envoie

reste, révèle, partage

et guérit

La peur enveloppe nos corps

dans les vêtements.

L’amour nous permet

de rester nus.

La peur s’accroche et se cramponne

à tout ce que nous avons.

La peur retient,

l’amour chérit.

La peur empoigne,

l’amour lâche prise

La peur laisse de la rancoeur,

l’amour soulage.

La peur attaque,

l’amour répare.

Neale Donald Walsch

Dans l’air du temps

Ce matin en me levant

J’avais une folle envie

De m’envoyer en l’air

Ne croyez pas cependant

Que dans la vie

Je sois hôtesse de l’air

 

Comme le dit dans la chanson

Le léger Jacques Dutronc

Qui n’a rien d’une diva

Mais tout d’un Casanova

 

Ce matin il faisait beau temps

J’avais très envie

De rester dans mon rocking chair

Ne croyez pas cependant

Que dans la vie

Je sois voluptuaire

 

Comme l’était Emmanuelle

Aussi belle qu’une demoiselle

Qui les dimanche sur sa balançoire

Montrait ses jambes sous son jupon noir

 

Ce matin pas un souffle de vent

Pourtant j’avais bien envie

D’aller prendre un bol d’air

Ne croyez pas cependant

Que dans la vie

Je sois pompeuse d’air

 

Comme l’était Liz Taylor

Dont les disputes valaient de l’or

Avec son célèbre Richard Burton

Qu’elle rendait furibond

 

Ce matin derrière mon paravent

Je n’avais aucune envie

D’avoir les fesses à l’air

Ne croyez pas cependant

Que dans la vie

Je sois nonne au couvent

 

Comme l’était Soeur Sourire

Qui n’est pas morte de rire

Mais d’avoir tout quitté

Pour une femme qu’elle a aimée

 

Ce matin les cheveux au vent

Je n’avais qu’une envie

D’aller à la montagne prendre l’air

Ne croyez pas cependant

Que je n’aime pas les vacances balnéaires

 

Comme le disait Jean Ferrat

Qui n’habitait pas le Cap Ferrat

Que la montagne est belle

Tout en regardant voleter les hirondelles

 

Ce matin tempête et vent

J’avais très envie

De sortir de ma bulle d’air

Ne croyez pas cependant

Que dans la vie

Je manque d’air

 

Comme Mam’selle Bulle

Qui comme un funambule

Avait rêvé de s’envoler

De s’envoler pour tout quitter.

 

Ce matin tapis blanc

J’avais très envie

D’enfiler un mohair

En sortant j’ai eu peur cependant

De glisser sur mon derrière

 

Comme Jacques Higelin

Retombé en enfance au pied du grand sapin

Tombé comme un météore

Dans les poches de Balthazar, Gaspard, Melchior

 

Ce matin voilà le printemps

J’avais très envie

De respirer le bon air

Il faut savoir cependant

Qu’en ville c’est la galère

 

Comme le disait Michel Fugain

Dans un de ses refrains

Regarde les rues de la grande ville,

Regarde les murs de la grande ville

 

Ce matin malgré le vent

J’avais très envie

D’aller prendre l’air

J’ai entendu cependant

Que pour notre survie

Il fallait éviter la pollution de l’air

 

Comme le dit Philippe Geluck dans son dicton

Je pense sincèrement que la pollution

Ce n’est pas aussi grave qu’on le dit…

C’est beaucoup plus grave qu’on le dit.

 

Depuis tout un temps je vis en dehors du temps

Voilà pourquoi ce matin je n’avais pas envie

D’aller prendre un bol d’air

J’ai peur cependant

De manquer d’air

 

Comme le dis Manom D’Inverness

Dans ses chansons pleines d’ivresse

Dans c’qui forme mon univers et tout ce qui diffère

J’ai peur à mes repères, j’ai peur de manquer d’air

 

-dimdamdom-

 

Pour ce premier jeudi poésie

chez les Croqueurs de Môts

Luciole à la barre

Voici ce qu’elle nous demande …

  • Poésie ou chanson ou autre sur les 4 éléments qui composent la danse :

          L’EAU, L’AIR, LE FEU, LA TERRE

En fouillant dans mon grenier j’ai retrouvé ce poème

Les quatre éléments y sont sauf peut-être le feu

Pour l’occasion j’y ai ajouté trois paragraphes.

A vrai dire je participe à un concours à la maison de la Francité

Je dois faire un texte de minimum 6000 caractères,

il m’en manque encore 3500 😆

« Quand Paris s’enrhume, l’Europe prend froid »

Pour le défi 201 chez les Croqueurs de Môts

c’est votre commandant Dômi qui s’y colle

et voici ce qu’elle propose …

Nous sommes en hiver …

« Quand Paris s’enrhume, l’Europe prend froid »

Il a neigé toute la nuit. Voilà ma matinée.

8h00 : Je fais un bonhomme de neige.

8h10 : une féministe passe et me demande

pourquoi je n’ai fait  une bonne femme de neige.

8h15 : Alors je fais aussi une bonne femme de neige.

8h17 : La nounou des voisins râle parce qu’elle trouve la poitrine

de la bonne femme de neige trop voluptueuse.

8h20 : Un couple homo du quartier grommelle que ça aurait pu être

deux bonshommes de neige.

8h25 : Les végétariens du n°12 rouspètent à cause de la carotte qui sert

de nez au bonhomme de neige.. Les légumes sont de la nourriture et ne doivent

pas servir à ça.

8h28 : On me traite de raciste car le couple est blanc.

8h31 : Les Musulmans de l’autre côté de la rue veulent que je mette

un foulard à ma bonne femme de neige.

8h40 : Quelqu’un appelle la police qui vient voir ce qui se passe.

8h42 : On me dit qu’il faut que j’enlève le manche à balai que tient

le bonhomme de neige car il pourrait être utilisé comme une arme mortelle.

Les choses empirent quand je marmonne : « ouais, surtout si vous l’avez dans le … »

8h45 : L’équipe de TV locale s’amène. Ils me demandent si je connais

la différence entre un bonhomme de neige et une bonne femme de neige.

Je réponds : « oui les boules » et on me traite de sexiste.

8h52 : Mon téléphone portable est saisi, contrôlé et je suis embarqué

au commissariat.

9h00 : Je parlais au journal TV , on me suspecte d’être un terroriste

profitant du mauvais temps pour troubler l’ordre public.

9h10 : On me demande si j’ai des complices.

9h29 : Un groupe djihadiste inconnu revendique l’action.

Morale : Il n’y a pas de morale à cette histoire.

C’est juste l’Europe dans laquelle nous vivons aujourd’hui.

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lN71O3x8iDU[/youtube]

 

Plaisirs d’hiver

C’était il y a quelques années mon amie MOUFFLES

(qui n’a plus guère de temps en ce moment 🙁

M’avait tendu un piège.

Un DEFFIchien oufflesFFLES

 pour lequel je devais thématiser  la neige

en neuf articles, mon blog s’en souvient encore 😆 

Je me rends compte qu’en ce temps là j’avais encore la pèche

Si le coeur vous en dit je vous invite sur mon blog de tous les défis

que j’ai un peu délaissé, j’espère m’y remettre un jour 😉

One day OuFFles

Two day OuFFles

Three day OuFFles

Four day OuFFles

Five day OuFFles

Six day OuFFles

DeFFiouFFles trois en un

C’est ainsi que naquit ce petit poème.

Sache ma reine des neiges

Que la neige

Je m’en tape le siège

Ne crois pas me prendre au piège

Neige ou pas neige

Je compte bien aller à Liège

Avec mon amie Nadège

Nous irons au manège

Pour déguster des gaufres de Liège

Et si toutefois la neige

Nous assiège

Nous ferons quelques batailles de neige

Et voilà que je m’allège

Plus que neuf défis boule de neige!!!

 -dimdamdom-

Voici ma participation au premier jeudi poésie du défi 201

chez les Croqueurs de Môts avec le commandant Dômi à la barre 🙂

PS : Trop fatiguée ce soir pour vous apporter vos liens sur le blog de la communauté

Je ferai ça demain, j’espère que vous ne me balancerez pas par dessus bords 😆

Je me souviens …. Défi anniversaire chez les Croqueurs de Môts

C’était en quatorze de l’an deux mille

Que la commandante Dômi

Prenait la barre de la coquille

Après le fondateur Brunô

Suivi de l’amie Tricôtine

Elle recevait le célèbre chapô

C’est en bonne amirale

Qu’elle vogue sur les flôts des môts

Dans une ambiance drôle et amicale

Avec tous ses matelôts*

Anciens, fidèles

et quelques nouveaux

Je suis très fière de mon équipage

C’est chaque quinzaine pour moi un plaisir immense

De naviguer avec tous sur les flôts du partage.

Bises amirales

Dômi.

« La société est comme un navire;

tout le monde doit contribuer à la direction du gouvernail »

Pour ce défi anniversaire (200ème)

chez les Croqueurs de Môts

Notre matelôt Durgalola est à la barre.

La principale consigne est de commencer son texte par

« je me souviens »

et une proposition de consigne supplémentaire (facultatif)

choisir un mot unique dans la liste et l’intégrer dans notre texte :

« maison, anniversaire, rouge, bateau ou lundi »

Des souvenirs, j’en ai à la pelle

A tel point que j’ai eu bien du mal à faire un choix.

Je pense qu’il en est un que je ne peux ignorer

en ce jour d’anniversaire, c’était la crémaillère …

Je me souviens …

C’était hier

On a pendu la crémaillère

J’ai reçu de Belgique de la bière

De Suisse du gruyère

Du thé d’Angleterre

Du café de la Cordillère

Des cailloux venant d’une huitrière

De la choucroute de Bavière

Du cochon en bétaillère

Du saucisson d’une charcutière

Du couscous dans une semoulière

De Bourgogne tout une escargotière

De Tirlemont de la betterave sucrière

Du chocolat d’une chocolatière

Et me voilà à braire …

Pour les retardataires

J’ai préparé quelques tupperware

Merci à vous bande de rastaquouères

Tout cela est somptuaire

Seulement voilà, j’ai le mal de mer

Vite vite allez me chercher ma mère

Avant qu’on ne me ramasse à la petite cuillère.

En partant n’oubliez pas de passer la serpillère

Car j’ai tout vomi sur le pont hier.

Et tant que vous y êtes faites une petite prière

Je vous donne rendez-vous au cimetière

-dimdamdom-

J’ai bien sûr d’autres souvenirs

Dont un qui me tient très à coeur ….

Image (35)« Le temps passe et repasse mais les souvenirs restent à la place »

OLYMPUS DIGITAL CAMERA« La jeunesse est chose si légère,

cueillons quand il est temps cette fleur passagère. »

45 ans se sont écoulés entre les deux clichés!!!

Je me souviens …

Nous n’étions pas différents

Juste pas les mêmes parents

Nous avons partagé le même nid

Croyant que ce serait pour la vie

Nous sommes retournés chez nos parents

Nous leurs manquions tellement

De force avons quitté le nid

Cela s’est fait sans bruit

Peut-on leur en vouloir

Même si bien souvent nous pleurions dans le noir

Tort ou raison?

A chacun sa raison

Avons fait notre chemin

Parfois caha, parfois cahin

Avons laissé s’écouler le temps

Tellement longtemps

Qu’aujourd’hui nous nous retrouvons

Et voilà que nous bredouillons

Tant de choses à dire

Tant de choses à se souvenir

-dimdamdom-

Image (23)

Les Croqueurs de Môts, séquence anniversaire !!!

Pauvre Colombe

Si vous voyiez son masque d’outre-tombe

Elle n’a plus le coeur à rire

A de plus en plus de mal à écrire

Voici plus d’un mois  de trois ans qu’elle a écopé

D’une promotion canapé

Son dos ne la remercie pas

Son moral pas plus que ça

Même de ses proches

Elle sent qu’elle décroche

Pas facile la vie

A côté d’un  de faux gentils

Pas facile non plus

De vivre à côté d’un de faux-cul

Pas très bon

De côtoyer un de faux-bons

Et si elle se disait tout simplement

Qu’elle vit à côté d’un de faux-méchants

Peut-être qu’elle retrouverait

A cette vie de nouveaux attraits.

-dimdamdom-

Pour la 200ème chez les Croqueurs de Môts

Durgalola nous propose de prendre un livre de poésie

(un des nôtres, celui d’un poète préféré, d’une anthologie),

d’ouvrir par hasard une page et mettre le poème sur notre blog.

Malgré un répertoire souvent rempli d’humour

j’ai retenu ce poème parce qu’il décrit bien ma vie …

 

 

 

La souscription et l’outrance

Pour ce second jeudi poésie chez les Croqueurs de Môts  les Cabardouche

Nous demandaient un exercice un peu fastidieux,

mais amusant,  d’où mon retard.

Il s’agissait de choisir une fable connue ou pas.

De remplacer chaque nom et chaque verbe

par le septième qui le suit dans le dictionnaire.

( ou le cinquième ou le quatrième…)

– Puis de proposer notre nouvelle fable.

Voici la fable originale ….

La Souris et l’Oursin

Petite souris le long de la plage

Rencontra un oursin très sage

Un frisson lui parcouru le dos

Son cœur chanta tel un fer chaud

Je t’aime, je t’aime petit oursin

Tu est plus beau qu’un ragondin

L’oursin surpris d’une telle tendresse

Rangea ses armes par faiblesse

Petite souris grand bien me fusses

Je suis plus piquant qu’un cactus

Je vais te faire une confidence

En moi tu ne peux avoir confiance

Pourquoi ? Raconte moi ton secret

Ma vie ne connaît plus la paix

Une fille de mulot l’an dernier

En m’embrassant s’est écorchée

Vif le sang s’est déversé

Ta peau n’est que fragilité

Vouloir ne veux pas dire pouvoir

Je ne suis pas lisse comme un miroir.

A ces mots durs comme l’acier

La souris devint affolée

La malheureuse désespérée

Dans l’océan s’est suicidée

-Lanédo-

Et la voici transformée par mes soins.

J’ai gardé la moralité pour ma version

car elle s’y approprie aussi bien qu’à l’originale

si pas mieux 😉

La souscription et l’outrance

Petite souscription le long de la plaine

Renforça une outrance très sage

Une froideur lui pardonna la douane

Sa cohésion chaparda tel un ferment chaud.

J’air, j’air petite outrance

Tu es plus belle qu’une raie.

L’outrance surprise d’un tel tenon

Rapa ses armures par faim.

Petite souscription grand bien-fondé me fusse

Je suis plus piquant qu’un cadenas

Je vais te fakir des confins

En moi tu ne peux avouer confirmation.

Pourquoi? Radical moi ta section.

Ma vietnamienne ne conquiert plus le palanquin.

Un fils de multiplicateur l’analyse dernière

En m’embrouillant s’étripe déviée

Vif la sangsue s’étrenne déviée.

Ta pèche n’étrenne que fraîche.

Voyant ne voyage pas directive praline

Je n’étripe pas lisse comme un miséreux.

A ces mottes durs comme l’acquéreur

La souscription dévia affolée

La malingre désespérée

Dans l’octogone s’étripe suintée.

Moralité : Tous les mots sont à manipuler avec précaution.

Ils font plus de mal qu’une raquette dans un chiffon

Lanédo

 

Surprise de janvier …

Capture01Faut que je vous raconte …

C’était le 4 janvier 2016

Ce jour là je me levais, la voix éraillée

Crachant les poumons, la tête prête à exploser

Comme d’habitude je faisais mon petit tour sur Facebook

Et là …  j’apprenais qu’un ami allait mourir en 2119.

Trouvant ça très surprenant et surtout n’y croyant pas une seule seconde

Je décidais de faire le test et voilà ce qu’on m’annonçait ….

« Oh non ! Peu importe si cette date est encore lointaine,

(c’est vrai que le 8 janvier 2016 on avait encore le temps de voir venir)

C’est un choc pour nous d’apprendre

que le monde va perdre une grande personne,

une personne de grande valeur.

On arrivera jamais à continuer et à rester fort sans toi alors il faut profiter !

Partage vite la date de ta mort avec tes proches pour les préparer au pire ! « 

Ben vous voilà avertis 🙂

Vous dire que cela m’a fait rire est un grand mot

On ne peut s’empêcher d’y penser

et de revoir son emploi du temps ce fameux vendredi.

Pour ma part, je fêtais Noël avec mes enfants 😉

Je ne flippais pas mais j’ai quand même recommencé le test

en changeant ma photo,

Juste pour voir sur quels critères FB se base pour me condamner à mort

Et bien c’est foutu FB n’en démordait pas 😆

Alors je me suis consolée en me disant que c’est autant de foutaise

De s’entendre annoncer la date de sa mort en fin de semaine

Que de l’annoncer à quelqu’un d’autre en 2119 😆

Le comble c’est que juste en dessous on vous propose de faire un test QI

Comme ça vous êtes sûr de mourir moins bête 😆

test-QI

Heureusement qu’on ne m’a pas fait cette annonce aujourd’hui

J’aurais pu me pendre de désespoir

Et pour cause puisque ….

C’est le 3eme lundi du mois de janvier ou « Blue Monday »

Et c’est le jour le plus dépressif de l’année.

Allons bon, il ne manquait plus que ça!!!

Mais je n’invente rien!!!

En effet, Cliff Arnall, un ancien prof de l’université de Cardiff,

A développé une formule mathématique compliquée pour appuyer cette théorie.

Dans la simple version de la formule.

Il faut prendre en considération des variables comme la température moyenne (C),

Nombre de jours depuis la dernière paye (P),

Nombre de jours jusqu’au prochain jour férie (B),

Nombre moyen d’heure de soleil (D)

Et la durée moyenne des nuits (N),

Ce qui donne la formule suivante : C(P+B) N+D.

Cette formule donne le jour avec le plus haut facteur de dépressions,

Qui est par conséquent le 3 ème lundi de Janvier.

Voici ma participation au défi 198

mené par ABC chez les Croqueurs de Môts

 

Scène hivernale

Pour ce premier jeudi poésie de la saison

chez les Croqueurs de Môts

ABC (Jardin des Môts) nous demande

une publication d’une photo poétique.

En fouillant dans mon grenier,

j’ai trouvé ces deux photos

sur lesquelles j’avais apposé ma petite griffe 😉

 

C’était en janvier 2013 …

 Nous recevions quelques amis à notre table

Voilà que ce matin tout est rangé

Et nous voilà prêts pour passer une belle journée

 Que je vous souhaite agréable!!!

 

Chaise musicale …

Il m’invita à prendre une chaise

Pour manger un chocolat à l’aise.

Nous eûmes trois petites chaises

Jusqu’à ce que Marie-Thérèse

Un jour ramène sa fraise

Et ….  nous biaise.

Remarquant que nous étions assis entre deux chaises

Elle usa de son regard de braise 😈

Pendant un temps musicales furent nos chaises

Nous plongeant dans un grand malaise.

Mais c’est avec beaucoup d’aise

Que je l’ai fait tomber de la chaise

Et la voilà obligée de filer à l’anglaise

-dimdamdom-

Conclusion : La vie c’est comme une boîte de chocolats,

on ne sait jamais sur quoi on tombe 😆 

Voici notre amie Fanfan à la barre des « Croqueurs de Môts « 

pour ce Défi N°197

chez les Croqueurs de Môts

Elle nous propose donc de  dire ce que nous inspirent ces chaises  .

(En espérant qu’elles nous inspirent )

Pourquoi sont-elles là ?

Que font-elles là ?

Qu’attendent-elles ?

Qu’ont-elles vu ?

Etc …

Et pour corser le tout, elle  nous demande juste de glisser

deux fois le mot « chocolat » dans votre texte en vers ou en prose.