Pour ce défi 188 « hommage à Henri »
chez les Croqueurs de Môts
voici mon humble participation.
Désolée Henri, je ne sais pas écrire en Alexandrins
pas plus en Haïkus, mais j’aime en lire et je respecte
ceux qui s’expriment de cette façon.
Toi tu étais le champion, tu nous gâtais chaque quinzaine.
Pour cet hommage, j’ai voulu présenter à beaucoup
l’homme poli, gentil et affable que tu étais
comme un papa pour nous .
Pour toi j’ai cherché dans mon grenier
et j’ai trouvé ce petit poème désuet
j’espère que tu apprécieras.
Où que tu sois cher Henri
sache que nous ne t’oublierons pas.
Ton nom est inscrit au Panthéon des Croqueurs de Môts.
Bises amirales.
Dômi.
Dis papa c’est vrai que la politesse
C’est de ne pas montrer ses fesses
Tu n’as pas tort
Mais encore!!!
La politesse
C’est rendre avec délicatesse
Des mots de tendresse
A ceux qui te les adressent
Dis papa , un égoïste, tu crois
Que c’est quelqu’un qui ne pense pas à moi
Tu n’as pas tort
Mais encore
Un égoïste n’est épanoui
Que si on ne pense qu’à lui
Il dort la nuit
Le monde peut s’écrouler autour de lui
Dis papa, c’est vrai qu’un blog
Est un endroit où l’on dialogue
Tu n’as pas tort
Mais encore
Un blog est un endroit de partage
Où de page en page
Il s’en dégage
Des sentiments sages
Alors papa suis-je assez sage
Pour commencer ce partage
Oui si tu respectes les mots
Que je t’ai dits plus haut
Et si tes mots
Jamais ne sonnent faux
-dimdamdom-