De vous à moi …

Pour ce défi 276, chez les Croqueurs de Môts

nos amis Les Cabardouche, continuent à nous malmener

en nous demandant ceci :

Les niveaux de langue.

Faites dialoguer des personnages qui n’ont pas

le même niveau de langue, exemple :

niveau de langue courant : Je n’ai pas lu ce livre.

niveau de langue familier Ce bouquin, je l’ai pas lu, moi.

niveau de langue soutenu Je n’ai point lu cet ouvrage.

Pour ma participation, je suis remontée dans mon grenier.

OK c’est un peu sens dessus, sens dessus, j’ai du fouiller

un peu pour trouver … le grenier

De vous à moi …

Après la théorie de l’oeuf de Einstein,

celle de l’ascenseur selon les devises Shadock,

l’acquisition du système de la temporalité…

afin de vous éviter de mourir idiot

je vais vous parler d’idiosyncrasie.

L’idiosyncrasie est le comportement particulier,

propre à celui-ci, d’un individu face aux influences de divers agents extérieurs.

Bien qu’on puisse parler d’idiosyncrasie en termes positifs concernant un objet,

une personne, une culture, etc., le mot est le plus souvent utilisé

dans les contextes de la médecine ou de la linguistique,

pour qualifier des comportements troublants, voire non souhaités.

En toute vraisemblance vous n’avez rien pigé, je vous rassure moi non plus.

Ca m’énerve ces gens qui utilisent des mots savants,

ça m’égruge l’albuginée des tubes séminifères jusqu’à l’épididyme.

Alors qu’il suffirait d’utiliser des mots passe-partout …

Idiosyncrasie  : réaction, tempérament, manière d’être de chaque individu.

Honnêtement là encore je n’ai rien pigé.

Voyons maintenant si vous comprendrez ce qui suit 😉

Salut Tertous’, tchiote louloute, tchiot biloute !

J’m’appelle Biloute et je vinds eum’ barraque

din’ le villache eud’ Linselles, din’l Nord.

Là d’où qu’y’a des igloos et des quiens d’traineaux in hiver 🙂

Elle che chitue à 2 pas (à pied…) du chentre ville.

Proche des commerches (si t’as des chous à dépincher),

pas loin d’eul’ barraque à frites et des écoles

(si toutefois, t’aimes les marmots),

elle t’conviendra à coup sûr. Pourquo ? et ben j’ va te l’dire.

D’abord, parche que tu trouveras eul’ calme et eul’ tranquilité d’une impache

(sauf si tu t’inberlificotes avec tin voisin).

Le tout, chur une parcelle eud’ gazon de 640 m², exposée plein chud !

Min gardin y’est toudi rempli d’arbres

et avec une vue vraimint imprenab’ sur eul’campagne.

Quind tu intres din m’barraque, tu vas vir un chalon de 42 m²

avec tout plein eud’ caïelles autour d’une table in bois pour minger,

et une quéminée au cas où qu’t’avos frod.

Tu pouvos même minger din min chalon

ou boire un picon-bière chi t’as soif;

chacun y fait à’s’mote.

Pour minger d’eul’carbonnate ou chucher un chirop,

te peux auchi vir eul gargotte qui eto équipée pour faire la popotte.

Y’a tout plin eud’place pour dormir avec chix champes;

ou chinq pour les p’tits quinquins, et un bureau

pour toi pouvoir travailler (chi t’as invie).

Che ti qui vo. Y’a une belle challe de jeu pour papa et manman,

pour quand qui s’catouillent par exchemple.

Heureusemint, tu pourros même eut’laver din une des 2 challes de bain.

Infin, y avo un garache pour eut’ carette ou tin bichiclette.

Chi t’as eune famile’, euch’barraque de 130 m²,

et ba elle eto faite pour tin ménache !

Fini eul’ parlotte.

Et envoie me un messache polimint pour viendre et se rincontrer pour la vir.

Si vous avez ri c’est sans aucun doute

que vous êtes atteint d’idiosyncrasie

pas de panique c’est une bonne maladie.

Etre ou ne pas être : telle est la question (William Shakespeare)

Pour ce premier jeudi poésie, défi 276, chez les Croqueurs de Môts

Les Cabardouche, vous savez c’est ce couple un peu louche qui aime

nous faire sortir de notre zone de confort, nous demandait ceci :

Ouvrez un recueil de poésie, choisissez un poème qui résonne en vous,

transcrivez-en le premier vers et continuez le poème à votre façon

en vous laissant la liberté d’écrire un texte bref ou plus long.

Voici mon choix :

Etre ou ne pas être : telle est la question

Naître

Et ne plus être

Ivre

De ne plus vivre

Comme le chat qui se rebiffe

Tu sors tes griffes

Tes larmes tu déguises

Avant de fermer ta valise

Tu renverses les remparts

Voilà c’est le départ …

Renaître

Pour mieux être

Vivre

Jusqu’à en devenir ivre

-dimdamdom-

William Shakespeare, Hamlet, Acte III, scène 1, extrait (1601),

traduction d’André Gide,

in Œuvres complètes, tome 2, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 1959.

Voyage, voyage…

 

Pour ce défi 275 chez les Croqueurs de Môts

j’ai un peu lâché prise et me suis offert un petit voyage à Paris.

Le thème proposé par Durgalola (Petites graines) ne pouvait mieux tomber

puisqu’elle nous demandait de commencer notre histoire par une des phrases suivantes :

 

« Le premier jour de l’année, surtout me plaît. »

de Sei Shônagon (dame d’honneur d’une

princesse au Japon – 11ème siècle)

 

« Le plus beau, dans ces voyages,

c’était ça : respirer l’air du réel. »

de William T. VOLLMANN

 

Et donc voilà, pour mes premiers jours de l’année,

 une jeune maman, actrice de son métier,

m’a proposé de m’occuper de son bébé,  pendant le tournage d’un de ses films.

Ce fut une formidable expérience où j’ai pu joindre l’utile à l’agréable.

J’ai pu arpenter les avenues de Paris, parfois seule et souvent avec

bébé pendu à mon cou ! Certes ce ne fut pas de tout repos, mais …

« Le plus beau, dans ces voyages,

c’était ça : respirer l’air du réel. »  et malgré l’agitation de la ville  …

de jour ou de nuit, sous le soleil ou sous la pluie,

Paris restera toujours… Paris !

Je vous ai apporté quelques jolis clichés de mon voyage

et je peux déjà vous dire que d’autres voyages sont programmés

et pas seulement à Paris !!!

 

 

Le Noël de Léonard et Mona

Pour ce second jeudi poésie chez les Croqueurs de Môts

sur le thème de Noël , j’ai choisi un défi que j’avais rempli

pour l’ami Carambaolé (2013), qui m’avait beaucoup amusée.

Vous vous trouvez au sommet d’un de ces endroits ,

Vous dialoguez de votre point de vue

Et en incluant ces huit mots ,peu importe celui qui les dit

1. La tour Eiffel

2. L’Atomium

3. La tour de Pise

4. Le mont Saint-Michel,Normandie

5. Notre dame de la garde,Marseille

Et vous placerez singulier ou pluriel ces huit exceptions

Des exceptions, qu’il faut connaitre

bail, corail, émail, gemmail, soupirail, travail, ventail et vitrail

Dont la terminaison se transforme en AUX ..

&&&&&

En ce jour de Noël je reçois un e-mail

Sur mon adresse gemmail

De la dulcinée de Léonard de Vinci

Celle qui toujours sourit

Quand on la bise

Et qui le suit partout depuis Pise

Voilà un bail que je n’avais eu de nouvelles de lui

 Elle m’annonce qu’ils sont à Paris

Lui toujours aussi déprimé

Et elle de plus en plus dévergondée

Mais cette fois en se jetant du ventail

Et en tombant dans le soupirail

Tout en bas de la Tour Eiffel

Il s’est retrouvé nez à nez avec le Père Noël

Qui lui proposait un travail

Dans la mer de Corail

Pour Léonard c’était le plus beau des cadeaux

Il allait enfin gagner des milliers d’Euros

Oui mais voilà que le père Noël

Demanda en échange une petite gâterie

De celle qui toujours sourit

C’est sans condition que Léonard proposa sa Mona

Espérant au plus vite signer son contrat

Mais le Père Noël qui n’est qu’une ordure

 Au volant de sa belle voiture

A grande vitesse s’est enfui

Dans un nuage couleur de suie

Laissant sur le vitrail

Le pauvre Léonard et sa jolie caille.

Le Père Noël est une ordure !

Pour ce défi 274 chez les Croqueurs de Môts,

j’ai demandé de créer un scénario en s’inspirant de l’image ci-dessus …

Les personnages ne sont autres que Pépé et Mémé Jeanne,

Pour ceux qui ont suivi ce couple devenu mythique , Je pense vous n’aurez pas trop

de mal à deviner la fin du film .

Nous sommes à la veille de Noël, Mémé Jeanne, qui était partie se ressourcer à la

campagne avec un  jeune papa, agriculteur et veuf,  qu’elle avait rencontré

dans une célèbre émission télévisée , revient en ville pour rejoindre son Pépé.

Elle le retrouve en T-shirt par moins dix degrés entrain de pelleter la neige

de l’entrée. Le voyant peiner sous l’effort elle laisse tomber la veste

pour lui prêter main forte.

Juste au moment de terminer , une chorale vient chanter devant la porte, ce

qui énerve royalement Pépé et émerveille Mémé Jeanne. Force est de constater que

Pépé , malgré tous ces mois, éloigné de sa dulcinée, ne veut faire aucun

effort et se met à ronchonner.

Il n’a jamais aimé Noël, tandis que Mémé Jeanne adore.

Pour ne pas plomber l’ambiance, elle lui propose d’aller faire du shopping de Noël.

C’est là qu’un miracle se produit, Mémé Jeanne n’en revient pas, il accepte d’acheter

un sapin et même de faire quelques courses afin de préparer un repas de Nöel à la

dernière minute. Et c’est là que la magie de Noël perd toute sa valeur,

il décide de l’emmener faire les enchères de la charité faisant rappeler, que si  elle

ne l’avait pas contraint à démissionner de son poste parce qu’il a abusé de

son statut de journaliste pour entrer dans sa vie privée, il ne serait pas aussi

dépouillé.

Paroles, paroles dont Mémé Jeanne n’a plus envie de s’encombrer, elle décide de le

planter là pour retourner à la campagne, retrouver son bel agriculteur.

Joyeux Noël à vous tous qui me suivez ici et ailleurs.

J’ai beaucoup de chance de vous avoir !!!

Lettre au Père Noël !

Pour ce premier jeudi poésie, défi 274

chez les Croqueurs de Môts,

je m’y suis collée afin de clôturer cette année

sur le thème de Noël !

J’ai choisi une lettre que j’avais écrite 

il y a quelques années, lorsque j’organisais 

le concours de la plus belle lettre au Père Noël

sur l’Annuaire pour les Nuls

Voici ma participation :

Bien cher Père Noël,

Est-ce que tu fais toujours des cadeaux aux enfants sages ?

Parce que Maman dit que je suis sa petite biquette

et Papa dit que je suis un amour de petite fille.

Mon frère lui, dit que je suis timbrée

et n’arrête pas de me faire des vacheries

alors je t’avoue que parfois je lui fais

des blagues pour me défendre.

Mais c’est pas méchant ça hein Père Noël ?

Hier j’ai fait un très beau sapin rien que pour toi.

J’y ai mis une étoile au sommet, des boules

et des guirlandes remplies d’étincelles.

Pour te séduire je t’ai même servi comme offrande

un verre de Champagne ,

je l’ai caché sous le sombrero de mon papa,

parce que je crains que mon frère, le trouve.

Quand tu viendras, un peu après l’arrêt de Montcucq,

tu trouveras ma maison,

s’il te plait veille à ne pas marcher

dans les crottes de tes rênes

parce que ma Maman ne serait pas contente.

Je crois que j’ai oublié de te demander

ce que j’aimerais recevoir.

Cette année je veux juste te demander quelques faveurs,

Offre un cerveau à tous ceux qui n’en n’ont pas,

Du respect à tous ceux qui ne le connaissent pas

De la gentillesse aux méchants

Et du bon sens aux idiots….

Je sais ce n’est pas gagné.

Merci Père Noël.

Domi.

ps : en sortant n’oublie pas d’éteindre la lumière

parce que mon Papa dit que ça coûte cher.

 

Où est passé ma jeunesse … Je crois bien qu’Hélléparthie !

Pour ce second jeudi poésie chez les Croqueurs de Môts

mené en toute simplicité par Colette,

notre âme soeur canadienne ,

j’ai fouillé très loin dans mon grenier.

C’était en 2008, je débarquais sur la planète blog.

En ce temps là je n’étais pas très créative

je puisais des textes tout faits sur le net.

Faut dire que j’étais une novice en la matière,

c’est en parcourant les blogs que j’ai commencé

à prendre goût aux mots qui sont devenus des Môts

et aujourd’hui, même si je suis moins assidue,

pour rien au monde je ne pourrais m’en passer.

Voici ma participation …

– Si un café t’ empêche de dormir

– Si une bière t’envoie directement aux toilettes

– Si tout te paraît trop cher

– Si n’importe quelle bêtise te met en rogne

– Si un léger excès fait monter l’aiguille de ta balance

– Si tu arrives à l’âge des métaux

(cheveux d’ argent, dents en or, pacemaker en titane)

– Si la viande te fait mal à l’ estomac,

– Si le poivre t’irrite et l’ail te fait régurgiter

– Si le sel fait monter ta tension

– Si tu demandes au maître d’hôtel

une table loin de la musique et des gens

– Si attacher tes lacets te fait mal au dos

– Si la télé t’endort

– Si tu dois te servir de plusieurs paires de lunettes

(de près, de loin, de soleil)

– Si tu as des douleurs d’origine inconnue

– Si tu as un ou plusieurs de ces symptômes,

ATTENTION!

C’est sûr, tu souffres d’Helléparthie !

« L’âge est une vue de l’esprit »

Pour ce défi 273 chez les Croqueurs de Môts,

Colette nous demandait

de partir de la citation suivante :

« Impossible de vous dire mon âge, il change tout le temps ».

-Alphonse Allais-

Et d’écrire un petit texte en prose ou en vers,

tout simplement (sérieusement ou avec humour) peu importe.

Voici ma participation :

Il disait qu’il l’aimait ,

oui mais…

Avec humour, c’est ce qu’il lui faisait croire,

il lui disait qu’elle n’était pas belle

et qu’il l’avait épousée par pitié

car il savait que jamais elle ne trouverait chaussure à son pied,

A quarante ans tu seras la plus belle, qu’il disait à sa jeune épouse

qui venait juste de fêter ses vingt ans.

Elle n’y avait pas prêté attention puisqu’il le disait

toujours avec humour, c’est ce qu’il disait.

Oui mais …

A quarante ans, trois enfants, une vie active, trop active

Les kilos accumulés, la fatigue, voilà qu’il lui disait

qu’elle pouvait faire encore quelques efforts

pour devenir la femme parfaite.

A cinquante elle serait juste comme il l’imaginait.

Elle n’y avait encore une fois pas prêté attention.

Mais cette fois il ne le disait plus avec humour

Il voulait la faire réagir qu’il disait

Oui mais …

A cinquante cinq ans, les enfants tous casés,

les voilà en tête à tête, ils n’avaient plus rien à se dire.

Elle ne travaillait plus, car trop épuisée de toutes ces années

elle ne s’était pas rendu compte avec quel dédain

il l’avait rabaissée toute une vie.

Elle était de plus en plus effacée,

ne se regardait plus dans la glace

puisqu’elle n’avait que le reflet

de ce qu’il lui disait depuis si longtemps.

Oui mais …

Voilà qu’un matin, elle ouvre les albums de photos,

elle découvre avec étonnement une bien jolie jeune fille

et elle prend une décision innatendue …

Elle l’invite au restaurant pour lui annoncer la bonne nouvelle…

Elle reprend sa liberté !

Le voilà désemparé, furieux, il essaie de se rattraper,

mais plus rien n’y fait. Elle le plante là comme un vieux con.

En un clin d’oeil elle venait de retrouver

ce qu’elle avait de plus précieux

Ses vingt ans !!!

Nous ne vieillirons pas ensemble … et alors !!!

VIEILLIR EN BEAUTÉ… ET EN SAGESSE

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son cœur,

Sans remords, sans regret, sans regarder l’heure.

Aller de l’avant, arrêter d’avoir peur,

Car à chaque âge se rattache un bonheur.

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son corps,

Le garder sain en dedans, beau en dehors.

Ne jamais abdiquer devant un effort.

L’âge n’a rien à voir avec la mort.

Vieillir en beauté, c’est donner un coup de pouce!

À ceux qui se sentent perdus dans la brousse,

Qui ne croient plus que la vie peut être douce

Et qu’il y a toujours quelqu’un à la rescousse.

Vieillir en beauté, c’est vieillir positivement.

Ne pas pleurer sur ses souvenirs d’antan.

Être fier d’avoir les cheveux blancs,

Car pour être heureux, on a encore le temps.

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec amour,

Savoir donner sans rien attendre en retour,

Car où que l’on soit, à l’aube du jour,

Il y a quelqu’un à qui dire bonjour.

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec espoir,

Être content de soi en se couchant le soir.

Et lorsque viendra le point de non-recevoir,

Se dire qu’au fond, ce n’est qu’un au revoir!

Ne regrette pas de vieillir.

C’est un privilège refusé à beaucoup!

– Félix Leclerc –

Ceci est ma participation au premier jeudi poésie

du défi 273 chez les Croqueurs de Môts

mené en toute simplicité par Colette.

J’avais publié ce poème en 2015, je changeais de vie,

jamais je n’aurai pu imaginer de vieillir seule.

Aujourd’hui, j’ai tourné la page et je suis si fière

d’avoir des cheveux blancs, d’avoir appris à donner

sans rien attendre en retour, d’être contente de moi

en me couchant le soir <3

Pour rien au monde je ne voudrai revenir en arrière !

Anièle jette le « D »

Ca y est, cette fois  « D »Anièle jette le D
 
Sous la supervision de sa Pomponnette
.
Pas question de tricher
 
Voici quatre et trois qui font sept
 
Elle aurait aimé faire un double six
 
Aller tout droit en prison
 
Et n’en sortir que le dix
 
Sous caution.
 
Finalement elle s’en sort bien
 
Evite l’impôt sur le revenu
 
Vingt mille € c’est pas rien
 
Dans sa situation c’était malvenu
 
Elle aurait pu puiser dans la caisse de communauté
 
D’autres sont passés par là
 
Elles ont été vidées
 
Par un salop et sa Falbala.
 
Elle aurait aimé prendre le train
 
A la gare Montparnasse
 
Mais elle manque d’entrain
 
Les voyages l’agacent
 
Aujourd’hui c’est son jour de chance
 
Elle prend son coupon
 
Le retourne avec assurance
 
Bingo …. “Allez tout droit en prison …”
 
-dimdamdom-
 
Pardonnez-moi Madame Jill-Bill,
 
mon intrusion dans votre cour de récré ce jour !
 
Mais voilà que cela fait des mois que Anièle
 
rime et rame dans ce monde pas toujours net.
 
De toutes parts on l’embête et là c’est décidé
 
elle ne se laisse plus prendre au jeu 
 
de ce monde malhonnête.
 
Donc voilà, grâce à mon bon samaritain Gibee,
 
je retrouve mes murs et je profite de ce petit article
 
pour faire un essai.
 
A tous ceux qui me suivent, si vous avez pu me lire ici,
 
pouvez-vous me confirmer que vous recevez toujours
 
la newsletter ? Si pas, je ferai le nécessaire pour vous réinscrire. 
 
Si tout fonctionne comme avant et mieux qu’avant,
 
je m’occuperai du blog des Croqueurs de Môts !!!
 
Merci pour votre patience, je sais que ça été compliqué
 
ces derniers mois.
 
Au plaisir de vous lire dans la joie et la bonne humeur !!!