La Retourne …

Assez de bourlinguer dans cette vie devenue monotone, la colère m’accompagne depuis quelques temps déjà, quand elle est trop omniprésente et pour y échapper, je prends mon bâton … et je m’en vais marcher.

Je me mets à errer loin de l’enfer des grandes villes où les gens passent leur temps à courir entre les pots d’échappement.

Dans ces moments, je peux m’exprimer et laisser parler mon coeur , ça m’aide à évacuer mes rancoeurs.

Pendant mon chemin de Compostelle , il m’arrivait de crier, de pleurer , de haïr alors je m’arrêtais un instant pour respirer profondément l’air pur et je cherchais dans la nature les émotions qui me redonneraient immanquablement l’envie de vivre…

J’ai retrouvé le sourire 😃

J’ai pris goût à naviguer entre ciel et terre, à me bouger, à sortir de mes zones de confort.

C’est fou tout ce que m’a apporté ce chemin.

J’ai appris tant de choses à commencer par l’humilité. J’ai appris à aller chercher l’énergie au plus profond de mon être, à surpasser mes angoisses, à me débrouiller dans les situations difficiles.

J’ai appris à me taire et à écouter.

Mon introspection m’aura appris une chose, qu’il faut toujours donner sans rien attendre en retour pour ne jamais être déçu 🤗

Merci encore à vous d’avoir été là pour moi, ici et ailleurs 🧡💚💙🩵

Désormais je vais essayer de me nourrir de tout ce que j’ai vécu de beau pendant ce chemin pour avancer dans ma vie et surmonter les obstacles, mais hélas le retour à la réalité n’est pas toujours aisé, ce qui me ramène à ce petit exercice d’écriture à la manière de Prévert, chez les Croqueurs de Môts , ma chère communauté que je vais retrouver très bientôt 🫠 Car oui, j’ai un manque de cet espace, de nos partages, de nos sourires voire éclats de rire, voilà pourquoi, j’ai décidé de revenir, à la façon de mon Chemin, tout en douceur 🤗

Ma vie avant …

Quand la vie est un collier,

Chaque jour est une prison.

Quand la vie est une prison,

Chaque jour est violence.

Quand la vie est une violence,

Chaque jour est pleurs.

Quand la vie est un pleur,

Chaque jour est peur.

Quand la vie est une peur,

Chaque jour est une fuite.

Quand la vie est une fuite

Chaque jour est évasion

Chaque évasion est une folie

Une délivrance, une émancipation.

-dimdamdom-

PS : Depuis le temps que je ne suis plus venue sur l’espace des blogs,

je constate que j’ai tout laissé aller et que des remises à jour

dans mon administration sont nécessaires, aussi pour ceux qui le désirent,

je vous encourage à vous inscrire ou vous réinscrire aux newsletters.

Attention, ici vous êtes sur ma plateforme APLN,

quant aux Croqueurs de Môts, c’est sur Overblog.

Merci pour votre attention .

Je vous dis à très vite !!!

Femme je suis femme!!! Pour la communauté « Le casse tête de la semaine »

Pour la communauté : « Le casse-tête de la semaine »

Sherry

 Du 1 au 15 mars 2014

Thème « Une femme pas ordinaire »

Le 8 mars étant la journée mondiale de la femme…

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Mes potes

 Disent que je suis hot

 Les hommes

 Disent que je suis bonne

 Mes copines

 Disent que je suis coquine

 Certains

 Disent que j’ai de beaux seins

 Les malotrus

 Disent que j’ai un beau cul

 Voilà notre drame

 A nous les femmes

 Avoir de beaux atouts

 N’est pas un tout

 Je n’ai rien trouvé de mieux

 De répondre à ces messieurs

 Qu’avant tout je suis femme

 Dotée d’une âme

 -dimdamdom-

Des mots, une histoire N°109 de Olivia Billington : Tout va très bien, tout va très bien…

 

Voici les mots pour la 109ème de « Des mots une histoire de Olivia Billington »

tourment – tempétueux – bourrasque – envoler – avion – aile – papillon 

métamorphose – chrysalide – soie – luxe – yacht – fric – clinquant 

pacotille – cotillon – célébration

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Nous voici à la rentrée ,et je suis heureuse de vous retrouver .

J’espère que vos vacances auront été bonnes

Et moins tumultueuses que les miennes.

A vrai dire elles avaient bien commencé.

Nous venions de passer un mois sur notre yacht clinquant.

Nous dormions dans des draps de soie, nous vivions dans le luxe le plus ultra.

Un soir nous avions invité tout le voisinage

Pour la célébration de nos cinq numéros gagnants à l’Euromillions

Tout fut déployé, cotillons , champagne ça sentait le fric à plein nez

Au lendemain nous devions prendre l’avion

Pour nous envoler vers un paradis lointain.

Quand un appel téléphonique arriva telle une bourrasque

C’est à ce moment là que je vis un grand tourment

Dans les yeux de mon mari.

En un instant ce fut la métamorphose inverse du papillon

Qui refermait ses ailes pour redevenir chrysalide.

Lui mon chéri qui  d’habitude était si tempétueux resta muet,

Il comprit que tout ce bonheur n’était que pacotille.

Son billet gagnant venait de brûler dans l’incendie de notre HLM.

-dimdamdom-

Des mots une histoire de Olivia Billington

 

 

 

Dieu Ô Dieu!!!

http://lysdesaron.over-blog.com/article-4013280.html

Au nom de quel Dieu

Vous permettez vous de mettre le feu

A notre essence de vie

Pour assouvir vos envies

D’argent et d’or

Triste décor

Que ces corps mutilés

Jetés à la fosse sans pitié

Au nom de quel Dieu

Devrions nous fermer les yeux

Odieux chantage

Digne du Moyen-âge

Faut-il à vos pieds s’agenouiller

Et laisser le massacre continuer

Qu’on me dise quel Dieu

Est capable d’être aussi odieux

-dimdamdom-

Je publie ce poème ici sur ce blog

Car pour le moment c’est le plus fréquenté

Mais il ne tient pas sa place ici

Mais dans mon blog de poésie

Où j’aimerais

Que lorsque vous y passez

Que vous vous abonniez

Afin d’être tenus au courant de l’actualité de celui-ci!!!

Merci pour votre compréhension.

 

L’école est finie!!!

Et bien voilà une année « scolaire » s’achève

Pour ma part elle fut remplie

De beaucoup de joie

D’un peu de tristesse

Quelques déceptions

Mais pas assez pour me décourager!!!

Tout au long de cette année

J’ai participé à de nombreux défis

Mais un seul a vraiment retenu mon attention

Car voyez-vous il a été dirigé

Par une maîtresse exemplaire.

Toujours à notre écoute

Toujours le mot pour rire

Et surtout tant de politesse.

Toujours elle nous rend avec délicatesse

Les mots de tendresse

Qu’on lui adresse,

Ma façon de concevoir

Ce monde de la blogosphère.

Tous les élèves de

« La cour de récré de Jill Bill »

Pourront en témoigner.

Je vais vous présenter les coulisses

D’une surprise prévue pour notre maîtresse.

Tout a commencé le 1er juin

Oui je sais je m’y suis prise un peu tard

C’est en privé que j’ai demandé

A TOUS les élèves de la cour de récré

De m’envoyer un petit texte personnel

Ecrit dans la mesure de leurs possibilités

De leur main et non de leur clavier

Sur une feuille de cahier d’école.

A l’unanimité tout le monde

A répondu présent.

Oui mais voilà certains

Partaient en vacances

Et ne pouvaient le faire sur le champs

Mais que cela ne tienne

Ils pourront encore m’envoyer leur copie

Que je transfèrerai à notre maîtresse.

Je peux vous dire que jusqu’à hier

Jour de l’envoi le stress a été à son comble.

Pour couronner le tout

Au moment de fermer le colis

Je réalise que je n’ai plus l’adresse de Jill

Je soupçonne mon maniaque de mari

D’avoir fait le ménage!!!

Pas grave je l’ai obtenue

Par Eglantine Lilas mais aussi par Viviane

Que je remercie pour m’avoir sortie de ce mauvais sort!!!

Voilà qu’aujourd’hui le colis est bien arrivé

Que M’dame Jill est comblée de joie

Et nous de la savoir heureuse et émue!!!

Quant à moi je me sens

Comme une élève qui vient de réussir son BAC

Enfin je suppose que c’est comme ça qu’on se sent

Dans ces moments là

Parce que moi je n’ai pas le BAC hihi!!!

Je vous laisse une photo

De ma table de salle à manger

Tube de colle, ciseaux, autocollants

Feutres… j’avais sorti toute la batterie

Pour faire de ce cahier

Un petit bijoux.

Je me suis vue revenir 40 ans en arrière

Où à l’école nous échangions

Ce qu’on appelait « cahier de poésie »

C’était les blogs de notre époque 😆

Seulement je n’étais pas aussi appliquée

Plutôt brouillonne et peu inspirée.

Grâce à l’informatique, aux blogs

J’ai appris énormément.

Et si à l’école on m’avait enseigné les matières

De façon aussi ludique

C’est sûr que je l’aurais eu ce BAC

Et peut-être même que j’aurais fait de hautes études!!!

Voilà, à partir d’aujourd’hui je lève le pied

Je serai en vacances à partir du 8 juillet

Pour revenir fin du mois

Je vous souhaite à toutes et tous

Un bon temps des vacances!!!

-dimdamdom-

 

 

Stella je t’aime!!!

Je me souviens encore

Du jour où je t’ai rencontrée

Tout de suite tu m’as accroché

Tout contre mon corps

Tu t’es approchée

De tes lèvres tu m’as caressé

Je me suis senti devenir tout chose

Une béatitude d’un coup retrouvée

Je me suis senti des ailes pousser

La vie redevenait toute rose

Tu m’as aidé à dessiner mon destin

Tu m’as donné les clés

De mon bonheur retrouvé

Avec toi je me sens bien

Tu n’en es pas à ta première conquète

Je ne suis pas ton premier

Sans doute pas ton dernier

Mais j’aimerais que jamais ça ne s’arrête

Tu n’as pas bonne réputation

Souvent calomniée

Beaucoup jugée

A tort ou à raison

Mais moi qui te connais

Nos destins resteront liés

Je te voue toute mon amitié

Aujourd’hui et à jamais

J’ai beau avoir voulu te fuir

Chaque fois on s’est retrouvés

Dans un élan de sincérité

Avec toi je retrouve le sourire

Je t’aime ma bonne Stella

-dimdamdom-

La cour de récré de Jill Bill

Chère m’dame Jill Bill

En cette der

Qui sent la mise en bière

D’une année scolaire

Je viens vous dire

Que Stella avec son joli sourire

Aurait pu se nommer

Fabienne

Pour qui je lève mon verre

En lui disant

A la tienne

Fabienne

Je m’inquiète!!!

Je participe….Et vous???

Aux écrivains, aux photographes ……

Les participations doivent parvenir avant le 30 juin, je sais c’est court …….

Mais pour la bonne cause …….

La marguerite des possibles :

Copié chez “Les anthologies éphémères

“(Article publié dans La Bibliothèque de Quichottine.)

C’est Azalaïs qui m’a soufflé ce titre….

Et, depuis, il trotte dans ma tête, fait son chemin.

Peut-on écrire à partir d’un simple titre ?

(Pas si “simple” ici, en fait, mais nous allons faire “comme si”,

Comme si tout était possible à partir d’une fleur

Que l’on effeuille différemment à chaque âge de notre vie.)

Alors, voilà, c’est mon défi pour notre prochaine anthologie éphémère…

Azalaïs, Polly et moi, dans le cadre de La Petite Fabrique d’Écriture,

Nous recevrons vos propositions de textes et d’images

Et nous composerons le recueil dont nous offrirons les bénéfices,

En notre nom à tous, pour qu’un enfant malade puisse aller au bout de son rêve.

Un enfant, ou davantage… tout dépendant du montant réuni par sa vente.

Dans un premier temps, je ne vous donne que deux contraintes.

Votre texte ne doit pas dépasser 4000 caractères, espaces compris,

Et les images seront en noir et blanc, ceci pour limiter le prix de l’ouvrage terminé.

(Une impression couleur double le prix de revient…

et nous sommes en temps de crise, hélas !)

Ensuite, nous affinerons peut-être la consigne, en fonction de vos envois.

Pour l’instant, il n’y a que cette marguerite qui comporterait plusieurs chapitres :

“un peu”, “beaucoup”, “passionnément”, “à la folie” et “pas du tout”.

Je vous demande de nous raconter vos “possibles”

Sous forme de conte, de courte nouvelle ou de poème.

Merci à tous ceux qui participeront à ce nouveau projet.

Merci à Azalaïs et Polly qui en assumeront la gestion avec moi.

J’espère de tout cœur qu’il aboutira.”

Et plus d’explications LA

Des mots, une histoire n°106 de Olivia Billington : Adieu Belle-Maman!!!

Les mots pour la 106ème de « Des mots, une histoire » de Olivia Billington sont :

soulagement – soupirer – souci – bois – source – senteur – génie 

cafetière – grain – arôme – lavande – mauve – embaumer – momie

&&&&&

Par une soirée d’un été aux senteurs de lavande

Un couple était convié dans le service funéraire

De l’hôpital de la Source où quelques heures auparavant

La maman de madame venait de trépasser.

Tous les matins la fille avait l’habitude

De téléphoner à la mère à neuf heures tapantes.

Ce jour là quand elle l’appela elle comprit qu’il y avait un souci.

Sa mère après plusieurs sonneries finit par décrocher,

Elle semblait suffoquer.

Quand son beau-fils arriva sur les lieux, elle avait déjà un teint mauve.

Il ne trouva et surtout ne chercha aucun soulagement pour la sauver.

Il scruta tout l’appartement afin de trouver la cause de cette tragédie.

Il régnait dans la pièce un arôme de café.

Et c’est très vite qu’il comprit

En voyant dans le fond de la cafetière quelques grains de café

Qui vraisemblablement avaient été mal moulus.

Belle-maman venait de s’étouffer !!!

Il ne fallait pas être un génie pour le comprendre.

Maintenant le couple devait décider de ses funérailles

Cercueil en bois de hêtre ou de châtaigner?

Allaient-il l’incinérer ou l’enterrer?

Quelque soit leur décision

Il faudrait l’embaumer comme au temps des momies.

Madame ne faisait que pleurer et le beau-fils ne cessait de soupirer.

Voilà que c’était bien embarrassant de prendre une décision ,

Les prix étant excessifs.

Mais le beau-fils qui ne pouvait rien refuser à belle-maman

S’écria soudain :

Et bien nous allons l’embaumer,

Puis la brûler et nous enterrerons ses cendres

-dimdamdom-

Des mots une histoire de Olivia Billington

Ce texte n’est que pure fiction

Que je vous invite

A prendre au second degré 😉

 

Dans la série les croqueurs de mots : La révolte à la basse-cour!!!

Pour la communauté : « Les Croqueurs de Mots »

Eglantine/Lilas à la barre n°104

Quinzaine du 3 au 16 juin 2013

Thème/défi du lundi « La révolte de la basse-cour ! »

Tout le plaisir est pour moi de participer à ce défi

Même si c’est une histoire réchauffée

Que certains auront sans doute déjà lue 😆

Aujourd’hui je suis venue vous parler de l’augmentation de la TVA

Mais aussi vous donner un petit aperçu sur l’origine

D’une expression que je trouve très drôle.

“Passer du coq à l’âne”

Cette expression serait un dérivé de celle datant du XIVe siècle :

“saillir du coq à l’asne”.

Au XIIIe siècle, le mot “asne” désignait une cane.

“Saillir” quant à lui n’a pas changé de sens, il signifie toujours “s’accoupler”.

Or, il semble que les coqs essaient parfois de se reproduire avec des canes.

“Saillir du coq à l’asne”

Serait donc devenu “passer du coq à l’âne”

Par déformation du mot “ane” sans accent.

Cette expression signifie que l’on parle d’un sujet

Puis d’un autre alors que ceux-ci n’ont pas de liens directs.

Maintenant si vous me le permettez

Je vous donne ma version.

Une poule sur un mur

Qui picore du pain dur

Picoti, picota

Lève la queue  puis tombe en bas

Oui mais voilà qu’en bas,

L’attendait un jeune coq

Un peu louffoque

Qui visiblement avait perdu ses breloques

Aussi futé qu’un renard

Il tint à la poule à peu près ce language.

Oh mais que vous êtes belle

Si votre ramage se rapporte à votre plumage….

Cocoti, cocota …

La poule du mur ne tomba pas

Et se fit immédiatement  la belle

Se souvenant de l’hiver dernier

Où le fermier

S’était mis en tête de saigner

A l’approche des réveillons

Celui qui deviendrait un délicieux chapon

Le pauvre coq avait été enfermé

Derrière un grillage

Cent cinquante jours avant l’abattage

Sur un plat il fut exposé tout nu

Privé de ses attributs

Même le chat passant par là

Se dit qu’on ne l’aurait pas

Même si on lui donnait la langue

De la bête exsangue.

C’est ainsi que la poule

Continua son chemin

Et au coin d’un bois

Rencontra un âne

J’aimerais pouvoir vous raconter

La suite de l’histoire

Mais j’ai subitement un trou de mémoire

Alors je vais passer du coq à l’âne

En vous parlant d’un sujet d’actualité

L’augmentation de la TVA

Au fait, savez vous ce que veut dire TVA

TVA= Trou vachement aggrandi

 Maintenant voici les termes médicaux de l’expression

Pour ceux que ça intéresse :

Pensée rapide et passer du coq à l’âne : Tachypsychie

(c’est agréable d’ailleurs, c’est comme quand on prend de la cocaine)

Désolée mais je dois déjà partir snif!!! 😥

Mais que fais-tu Perceval?

Bien chère M’dame Jill Bill

Aujourd’hui je me fais de la bille

Mon Perceval

Gamin que je pensais banal

M’en fait voir de toutes les couleurs

Je crains bien qu’il lui soit arrivé malheur

Voyez-vous à la mort de son père, illustre seigneur Gallois,

Et de ses frères , lors de sanglants tournois

Je l’ai élevé seule dans la forêt

Car ma crainte fut qu’il veuille devenir chevalier

Voilà que Perceval

L’autre matin est parti en cavale

On dit qu’il a rencontré

Sur son chemin de brillants chevaliers

Malgré sa stature quelque peu chancelante

Il aurait voulu les imiter en revêtant leur armure étincelante

Depuis le voilà disparu dans la nature

Pourvu qu’il n’ait pas rejoint la cour du roi Arthur

Car là je crains le pire

Qu’il soit parti en Afghanistan ou dans le Cachemire

Enfin tout ça pour dire qu’à cause de Perceval

Aujourd’hui je « grr raal ».

-dimdamdom-

La cour de récré de Jill Bill

Toute ressemblance avec des faits réels

Ne serait que pure et fortuite coïncidence

Quoique 🙄